Lug le Celto Gaulois
A une heure ou l’Europe …
… devient une construction de plus en plus vaste et complexe, il est temps de faire le point sur les étapes de cette évolution qui pour beaucoup n’a guère plus d’un siècle et qui en fait plonge ses origines dans la nuit des temps, avec l’installation des peuples dans les différents territoires qui aujourd’hui sont comme autant de pièces de cet immense puzzle.
Et pour bien entrer en l’intimité d’un aussi vaste chantier archéo-centré, comment mieux faire qu’en interpellant une des figures emblématiques des fondations culturelles de l’Europe, personnage central et fédérateur de la cosmogonie divine du monde celte, j’ai nommé: le Dieu Lug himself .
Car c’est à ce témoin de la première heure de la fondation du monde (ce qui est bien le moins d’ailleurs pour un Dieu) qu’il va être donné d’arbitrer le spectacle.
Et plus qu’un voyage dans l’histoire comme fil conducteur, c’est à un passage au crible de celle-ci que les différentes composantes de notre monde actuel, leurs moteurs, coulisses, dérivées ou accessoires vont être analysées.
Avec la distance, l’humour et la faconde que seul le regard aiguisé et complice de cet acteur primordial peut avoir sur notre société.
Jazz-à fables
(Ou L’histoire extraordinaire du Vieux Continent Jazz qu’on croirait Jazz comme une image)
Comment transformer l’Europe en vaste terrain de jeu musical d’une culture qui se joue d’elle-même?
C’est l’objet de cette création que nous vous proposons d’explorer le temps de cette causerie – conférence ludique, ce « Concert Narratif In Situ » (ou CNIS, suivant la dénomination de ce concept imaginé par François Dumont d’Ayot)
Le principe en est simple : Fort du passé stratifié multi-couches (néolithique, celte, gallo-romain …) de notre histoire commune et communautaire, ce Concert Narratif In situ nous fera voyager dans le terreau fertile du tourbillon historique de toutes nos histoires entremêlées dont le dénominateur commun – pivot atour duquel, tout s’articule pourrait bien être un certain Dieu des temps anciens, j’ai nommé le Dieu LUG.
La musique et le texte sont entièrement réalisés par François Dumont d’Ayot alias Mr FD’A (« stritch » ou sax alto droit, Conn-O-sax, Saxello, … ) avec la complicité pour la mise en espace et en musique de ses fidèles acolytes du quartet: Attilio Terlizzi à la batterie, Florian Pigache à la guitare basse, Rémi Mercier aux claviers
Durée : environ 70 minutes