Airs d’appeaux polis d’Apollinaire

Où va le pâle sourire
de la  lune qui me regarde écrire …

Gilda Hobert – Pélissier : comédienne, récitante choix et mise en situation des textes

Attilio Terlizzi : batterie

François Dumont d’Ayot : compositions, sax, flutes …

 

 

 

 

 

 

 

 vendredi 2 Novembre 2018 / 19h30
ENSATT /
4 Rue Sœur Bouvier, 69005 Lyon

Dimanche 18 Novembre 2018 / 16h00
MAISON DES PASSAGES
44 Rue Saint-Georges, 69005 Lyon

Soyons sérieux … « Apollinaire écrivait dans ses médiations esthétiques :

« J’ai pensé qu’il fallait revenir à la nature même, mais sans l’imiter à la manière des photographes. Quand

l’homme a voulu imiter la marche, il a créé la roue qui ne ressemble pas à une jambe. Il a fait ainsi du surréalisme sans le savoir »

 

Les grands poètes et les grands artistes ont pour fonction sociale de renouveler sans cesse l’apparence que revêt la nature aux yeux des hommes.

 

Sans les poètes, sans les artistes les hommes s’ennuieraient vite de la monotonie naturelle.

Les poètes et les artistes déterminent de concert la figure de leur époque et docilement l’avenir se range à leur avis. (…) »

 

Ainsi parlait le grand Guillaume, et ce n’est pas l’opportunité fortuite de l’anniversaire de sa mort en 2018 qui nous a incités à nous pencher sur son œuvre, mais bien le rapport de cet éternel bon vivant avec l’existence qui nous a poussés à lui rendre cet hommage vibrant de nos voix et sons réunis.

 

D’où ces Airs d’apeaux polis d’Apollinaire …

Galerie « Airs d’appeaux polis d’Apollinaire »